Nous

[title_subtitle title=”Richard Meier” title_color=”#d7b992″ subtitle=”« … l’essentiel est de saisir chaque volume à l’état d’explosion comme la démonstration visible de la plasticité d’un monde. »” subtitle_color=”#ffffff” subtitle_size=”18″ align=”left”]

Richard Meier suit sa voie depuis plus de trente ans. Une voie polyphonique. Suivre sa voie ne signifie pas avoir vocation à. R.M. n’est pas de ceux qui en ont une. Mais il sait se vouer à ce qu’il aime faire. Il suit sa voie sans regarder au loin, sans prévoir. Il avance, pas à pas, ou plutôt livre à livre pour, au final, laisser des traces nettes, un vrai parcours. Un peu comme les voies de chemin de fer, des voies qui épousent la géographie de la terre, et qui, quand c’est nécessaire, la heurte de front, la terre, en tunnels. Pour s’y frayer un passage, une voie.

Conduit par l’envie, le désir, il « flashe » pour un texte, le travail d’un artiste et il choisit, sur le champ, très vite, presque à l’instinct, d’en faire livre. Il sait ce qui fera livre ou ne le fera pas. À chacun ses éprouvettes. Dick Higgins disait combien était cruciale l’expérience de faire un livre et il ajoutait que la seule bonne question à se poser, en en tournant les pages, était « De quoi ai-je fait l’expérience ? ». Chaque livre né sous les auspices de Richard Meier est de l’ordre de l’expérience. Du « essayons », de la prise de risques, du « osons l’erreur », de l’interrogation, du questionnement, de l’attente impatiente, de l’émotion, du à peu-près, de la victoire, du « eurêka ! »…

[title_subtitle title=”Sophie Meier” title_color=”#ffffff” subtitle=” Sophie Meier vit et travaille à Lescar. Graphiste, photographiste, elle travaille actuellement comme directrice artistique en free lance et dirige l’édition d’une collection de Fireboox en collaboration avec de jeunes designers, graphistes et artistes… Jeune talent, elle a été sélectionnée et choisie pour faire partie de Marseille 2013 OFF capitale de la Culture en 2013.” subtitle_color=”#ffffff” subtitle_size=”14″ align=”left”]

Travail photographique : il s’agit d’une recherche, d’une exploration sur des situations mêlant le réel et l’irréel. Une histoire imaginée et métaphorique, où se croise le grave et le naïf, le présent et le passé. Interpeller le regard, susciter l’imaginaire et partager le côté cynique et parfois sombre de ces explorations en mêlant la photo, le dessin et le graphisme. C’est une démarche plutôt impulsive, expulsive instantanée, brute, qui repose sur du sensible, de l’imaginaire.

Travail d’édition – Fireboox Collection : Une boîte d’allumettes est le réceptacle même d’un livre qui se présente sous la forme d’une pièce pliée en accordéon qui déroule et déploie le travail de chaque invité. Cette nouvelle offre d’inscription pensée et créée par l’Editeur Richard Meier / voixeditions trouve ici un nouveau public. Les collections diversifiées sont co-dirigées et élargies aujourd’hui par Sophie Meier.

[team_member image_url=”1690″ name=”Richard Meier” role=”Editeur & plasticien, créateur des Fireboox”]

Lors d’un dîner animé en compagnie de nombreux acteurs du monde de l’art,’écrivains,conservateurs de musées, artistes – me demandant ce que j’allais faire prochainement je décrivais ce que j’allais réaliser 2 mois plus tard, cherchant l’occasion et l’artiste pour l’événement – par cela je voulais aller vers le petit ne pas parler d’un gros projet, étant en même temps en train de réaliser un important volume consacré à john cage – travail d’un an – ces fireboox allaient m’offrir un espace de la promptitude – mais aussi d’une “adresse” directe au regardeur; ce qui fait le succès des meilleures boites – je pense à ce que l’on nomme la poésie de circonstance. Pour cela la première fois commandée à Roger Cosme Estève fut réalisé pour/dans le cadre des toromachies de Ceret (célèbre par son musée d’art moderne – picasso y fit de très belle céramique-toromachique) Toro de fuego fut immédiatement tiré à plus de 700 exemplaires et dans des boites “normales” c’était un détournement fuego aussi comme excès d’amour. ce détournement choquant (il y avait des footballeurs sur les premières boites – roger cosme estève peint des fond noir et grattait un toro de feu, ce furent ce que l’on appelle des exemplaires de tête – mais à très bas prix.

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[team_member image_url=”1745″ name=”sophie meier” role=”Collection Cosyworks”]

Richard est le maître d’Art, l’orfèvre qui met “en boîtes” les artistes et qui les choisis pour sa propre collection. Richard Meier réalise tout : l’impression, le façonnage, le collage. Moi, qui co-dirige la collection nommée Cosyworks, je choisis les artistes et récupère les travaux que je transfère à Richard. En ce qui me concerne, je travaille plus avec la “jeune création”, des graphistes, des photographes de mode, des illustrateurs et des photographes.

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[icon_box icon=”basic-spread-text-bookmark” icon_style=”outlined” icon_color=”#ffffff”][/icon_box][title_subtitle title=”Comment est née l’idée des Fireboox ? (qui, quand, comment, le principe…) Sophie : Une boîte d’allumettes // est le lieu/réceptacle même du livre // où se joue une pièce pliée en accordéon (Leporello) qui déroule/déploie le travail de chaque invité. Cette nouvelle offre d’inscription pensée et créée par l’Editeur Richard Meier / voixeditions trouve ici un nouveau public. c’est Richard qui est à l’initiative de ce merveilleux projet. Il a pensé et créé cette collection, co-dirigée et élargie aujourd’hui par moi-même CosyWorks à Pau.” title_color=”#ffffff” title_size=”18″ subtitle=”Fireboox.fr” subtitle_color=”#a1a1a1″ subtitle_size=”24″]